C'est une semaine intemporelle.
Un tourbillon intérieur me balance entre hier et demain, entre ce que j'étais et ce que je serais, entre le connu et l'inconnu, entre le réel et l'irréel, entre la panique qui pousse à s'accrocher au moindre repère, à la moindre habitude, au moindre réconfort, et la confiance qui guide inévitablement vers ce qui semble s'annoncer comme le plus grand chamboulement de mon univers.
Dans quelques jours je pars hors du monde ; celui qu'on a créé, nous les humains.
Dans quelques jours je m'immerger dans le monde ; celui de la nature, des plantes, du présent.
Alors, avant de couper tous contacts pour deux mois (du moins c'est ce qui est prévu, mais qui sait ce qui peut arriver), l'envie de partage me pousse à reprendre l'écriture et faire un pont, relier le premier chamboulement à celui-ci, raconter, expliquer, et me délester sans doute, pour partir le cœur plus léger.
Un tourbillon intérieur me balance entre hier et demain, entre ce que j'étais et ce que je serais, entre le connu et l'inconnu, entre le réel et l'irréel, entre la panique qui pousse à s'accrocher au moindre repère, à la moindre habitude, au moindre réconfort, et la confiance qui guide inévitablement vers ce qui semble s'annoncer comme le plus grand chamboulement de mon univers.
Dans quelques jours je pars hors du monde ; celui qu'on a créé, nous les humains.
Dans quelques jours je m'immerger dans le monde ; celui de la nature, des plantes, du présent.
Alors, avant de couper tous contacts pour deux mois (du moins c'est ce qui est prévu, mais qui sait ce qui peut arriver), l'envie de partage me pousse à reprendre l'écriture et faire un pont, relier le premier chamboulement à celui-ci, raconter, expliquer, et me délester sans doute, pour partir le cœur plus léger.